Introduction.
Toxicité et métabolisme de l’iode.
Posologie.
Où trouver de l’iode ヨウ素 ?
Quand faut-il prendre l’iode ?
Le nuage radioactif au Japon.
Le nuage radioactif ailleurs dans le monde.
Conclusion provisoire.
Références.
Evolution de la situation
Les accidents nucléaires ont été étudiés à l’occasion des bombardements d’Hiroshima et Nagasaki et d’accidents en particulier Tchernobyl. L’accident actuel de la centrale de Fukushima est annoncé moins sévère que Tchernobyl mais il y a au Japon plusieurs réacteurs en difficulté ou en grande incertitude.
Les radiations sont surtout toxiques pour les cellules en phases de divisions: en particulier celles de la moelle osseuse qui fabrique les cellules sanguines, celles de l’intestin en perpétuel renouvellement, mais aussi de manière plus générale, celles du fœtus, de l’enfant d’autant plus qu’il est plus jeune et donc en phase de croissance rapide.
Nous ne parlerons pas des problèmes des irradiations aiguës très dangereuses à proximité immédiate de la centrale. Ils sont parfaitement connus.
Voyons rapidement les problèmes qui se posent aux personnes habitant à distance de l’accident :
L‘irradiation externe diminue avec la distance entre la source (le réacteur, la poussière radioactive) et le sujet. Il faut s’éloigner si on peut. Mais la poussière vole et suit les vents. Il faut surveiller la météo. La contamination par la poussière se combat facilement (90%) en se changeant et (9 à 10%) en se douchant.
Il faut, si on le peut, éviter de sortir, se laver abondamment, fermer les fenêtres. Heureusement il semble qu’au Japon les vents dominants viennent de l’Ouest ou du Nord-Ouest, ce qui éloigne le nuage vers le Pacifique.
S’il pleut, les poussières tombent au sol avec la pluie et augmentent la radioactivité locale. Il ne faut donc pas sortir sous la pluie. Après la pluie l’air est plus pur mais il vaut mieux utiliser un masque ou surtout un tissu humide pour filtrer les particules inhalées.
L’irradiation interne :
L’iode radioactif rejeté accidentellement par un réacteur nucléaire est assimilé avec la nourriture ou l’eau contaminée, et se fixe dans la glande thyroïde. L’ingestion de comprimés d’iodure de potassium sature la thyroïde et évite la fixation d’iode dans l’organisme pendant l’exposition à l’iode radioactif. Cette consigne de sécurité est surtout valable pour les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes, les risques de cancers thyroïdiens étant majorés. Au-delà de 40 ans, la prise d’iodure de potassium devient discutable, la balance bénéfice/risque n’étant plus aussi favorable.
Une petite protection: prendre de l’iode, uniquement dans la zone à risque qui se modifie au gré des vents.
Aux doses indiquées les effets collatéraux sont extrêmement rares selon le NEJM
Certaines personnes peuvent être allergiques à des produits contenant de l’iode, comme par exemple les produits de contraste injectés pour des examens de radiologie.
Les produits susceptibles d’induire une « allergie à l’iode » contiennent tous de l’iode, mais ce sont les molécules porteuses qui interviennent dans les cas d’allergie. Pour la Bétadine c’est la Povidone (le véhicule de l’iode) qui est responsable. Pour les produits de contraste iodés, l’osmolarité également est mise en cause. Pour les produits de la mer (poissons et crustacés) ce sont des protéines musculaires. Il n’y a pas d’allergie rapportée dans les cas d’utilisation de solution alcoolique ou aqueuse d’iode (solution de Lugol, teinture d’iode, etc.)
L’iode qui va saturer la thyroïde peut entrainer très rarement une hypothyroïdie biologique transitoire. Ceci a été décrit avec l’amiodarone, médicament très riche en iode.
Extrait du NEJM: ref en bas de l’article.
“the most likely treatment of internal contamination would be the use of potassium iodide or iodate to prevent radioiodine from accumulating in the thyroid. The recommended daily dose of potassium iodide is 130 mg for adults, 65 mg for children 3 to 18 years old, 32 mg for children 1 month to up to 3 years old, and 16 mg for infants less than 1 month old. Potassium iodide must be taken shortly before exposure or within several hours after exposure to be effective. Both the Nuclear Regulatory Commission and the FDA have approved the use of potassium iodide in emergencies. Potassium iodide is widely available through the mail and the Internet. Too high a dose will result in iodism, but the risk of serious side effects with the recommended dose is extremely small.”
Métabolisme :
La thyroïde a une grande affinité pour l’iode. Le fait de la saturer avec de l’iode (froid) empêche l’iode radioactif de s’y fixer.
L’iode fixé sur la thyroïde a une demi-vie biologique de 100 jours. On ne comprend donc pas pourquoi il existe partout une information curieuse disant que la prévention n’est efficace que trois jours. La demi vie dans les os est de 14 jours et dans les reins les organes génitaux seulement 7 jours. Mais l’iode n’a pas une grande affinité pour les testicules ou les ovaires. Ce sont les radiations en général qui sont risquées.
Posologie:
Les services sanitaires s’occupent de tout cela mais ils peuvent être débordés car dit on, il faut prendre cet iode juste avant l’arrivée du nuage radioactif.
Alors pas d’iode = panique et rien ne va.
Pour que tout se passe mieux, il faut se procurer un peu d’iode ou d’iodure de potassium et le donner à la dose suivante :
Comprimé à 65 mg
Nourrisson moins de 1 mois 16 mg un quart
Nourrisson de 1 mois à 3 ans 32 mg un demi
Enfant de 3 à 18 ans 65 mg un
Adulte 130 mg deux
Où trouver de l’iode ヨウ素 ?
Les services de santé de l’Armée seuls disposent de
comprimés sécables de 65 ou 130 mg.
Les pharmacies disposent d’iode métalloïde et d’iodure de potassium.
Le plus simple est de se procurer en pharmacie du :
Lugol: ルゴール la dose est une goutte par kilo de poids par jour, divisée en trois prises par jour, durant 3 jours.
Pour un enfant de 12 kg, cela fait 4 gouttes matin midi et soir durant 3 jours.
A défaut,
Teinture d’iode. Même dose
Ou de la Bétadine ou un produit contenant de la Povidone iodée. Même dose. On peut aussi badigeonner les bras et les jambes. L’iode est absorbé à travers la peau. L’iode colore la peau durant plusieurs jours: Évitez de badigeonner les parties visibles.
Au Japon, un médicament nommé Isodine est analogue à la Bétadine.
La Bétadine est chez nous contre-indiquée chez les enfants de moins de 3 ans car l’iode traverse la peau: c’est justement ce que l’on cherche.
Quand faut-il prendre l’iode ?
NB: L’iode est contre-indiqué chez les personnes allergiques à l’iode.
Au Japon :
Théoriquement:
Juste avant l’arrivée du nuage quand la radio ou la TV indique une augmentation de la radioactivité et sans doute si le vent vient de la centrale. C’est déjà le cas à Tokyo et au Nord de Tokyo.
Quand on a pris une cure, on n’en reprend pas si le nuage revient. On reste chez soi en fermant les fenêtres et en arrêtant la climatisation.
Comme tout ceci se fait très vite et qu’une seule cure suffit, on peut avoir un peu d’iode chez soi.
Au Japon, les vents dominants soufflent du Nord-Ouest emportant la majeure partie de la radioactivité vers le Pacifique mais il peut y avoir des systèmes tourbillonnaires. L’ISRN a modélisé le nuage radioactif et les prévisions 48 H à l’avance. S’il n’y a pas de nouvelle explosion, le plus dur est passé, avec une assez forte augmentation de la radioactivité à Tokyo dès le 15 mars au gré des vents.
Radioactivité à Tokyo pour le 15-17 mars 2011 (2011年3月15-17日 東京え 放射能 )
Document ISRN
A Tchernobyl, les vents variés ont disséminé la radioactivité sans direction particulière comme en témoigne cette carte de l’ISRN du 2 mai 1986 soit 6 jours après l’explosion:
Il existe d’autres radio-éléments comme le Cesium, le Plutonium, etc… contre lesquels on ne peut pas faire grand chose.
Au Japon, en pratique, toutes les personnes de moins de 40 ans peuvent prendre une cure d’iode car les vents tournent.
Le nuage radioactif arrive en Europe par l’Ouest ou par le Nord selon les vents, vers le 21 ou 23 mars. En raison de la dilution, la radioactivité diminuera régulièrement.
On peut espérer que la gestion de cette catastrophe sera meilleure que celle de Tchernobyl mais il vaut mieux être vigilant. Selon les dernières modélisations de l’IRNS, la radioactivité couvre toute la planète. C’est bien inquiétant.
En Europe, il faut prendre exemple sur les japonais et rester calmes et dignes. On est au chaud et on mange.
“Au Japon, à la catastrophe nucléaire en cours, s’ajoutent les destructions du tremblement de terre, le désastre du Tsunami, ainsi que l’isolement du Nord sans routes, sans essence, sans abris sans médicaments, et aussi maintenant sans nourriture. De plus il neige avec des températures de -4 ° “
Temple près de Fukushima: les petits bouddhas protègent les enfants (Photo Dr Gamin)
がんばて
Reférences: En francais ou anglais
Major Radiation Exposure — What to Expect and How to Respon Fred A. Mettler, Jr., M.D., M.P.H., and George L. Voelz, M.D. Article de revue très complet du NEJM
CRIIRAD: Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité: Dossier extrêmement complet, sans langue de bois, sur la radioactivité au Japon toutes les mesures disponible, les courbes. Nombreux liens vers des sites japonais.
Latest Earthquakes in the World: information sur les tremblements de terre depuis 7 jours dans le monde.
Film de la chaine Française ARTE
Toxicité et métabolisme de l’iode.
Posologie.
Où trouver de l’iode ヨウ素 ?
Quand faut-il prendre l’iode ?
Le nuage radioactif au Japon.
Le nuage radioactif ailleurs dans le monde.
Conclusion provisoire.
Références.
Evolution de la situation
Les accidents nucléaires ont été étudiés à l’occasion des bombardements d’Hiroshima et Nagasaki et d’accidents en particulier Tchernobyl. L’accident actuel de la centrale de Fukushima est annoncé moins sévère que Tchernobyl mais il y a au Japon plusieurs réacteurs en difficulté ou en grande incertitude.
Les radiations sont surtout toxiques pour les cellules en phases de divisions: en particulier celles de la moelle osseuse qui fabrique les cellules sanguines, celles de l’intestin en perpétuel renouvellement, mais aussi de manière plus générale, celles du fœtus, de l’enfant d’autant plus qu’il est plus jeune et donc en phase de croissance rapide.
Nous ne parlerons pas des problèmes des irradiations aiguës très dangereuses à proximité immédiate de la centrale. Ils sont parfaitement connus.
Voyons rapidement les problèmes qui se posent aux personnes habitant à distance de l’accident :
L‘irradiation externe diminue avec la distance entre la source (le réacteur, la poussière radioactive) et le sujet. Il faut s’éloigner si on peut. Mais la poussière vole et suit les vents. Il faut surveiller la météo. La contamination par la poussière se combat facilement (90%) en se changeant et (9 à 10%) en se douchant.
Il faut, si on le peut, éviter de sortir, se laver abondamment, fermer les fenêtres. Heureusement il semble qu’au Japon les vents dominants viennent de l’Ouest ou du Nord-Ouest, ce qui éloigne le nuage vers le Pacifique.
S’il pleut, les poussières tombent au sol avec la pluie et augmentent la radioactivité locale. Il ne faut donc pas sortir sous la pluie. Après la pluie l’air est plus pur mais il vaut mieux utiliser un masque ou surtout un tissu humide pour filtrer les particules inhalées.
L’irradiation interne :
L’iode radioactif rejeté accidentellement par un réacteur nucléaire est assimilé avec la nourriture ou l’eau contaminée, et se fixe dans la glande thyroïde. L’ingestion de comprimés d’iodure de potassium sature la thyroïde et évite la fixation d’iode dans l’organisme pendant l’exposition à l’iode radioactif. Cette consigne de sécurité est surtout valable pour les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes, les risques de cancers thyroïdiens étant majorés. Au-delà de 40 ans, la prise d’iodure de potassium devient discutable, la balance bénéfice/risque n’étant plus aussi favorable.
Une petite protection: prendre de l’iode, uniquement dans la zone à risque qui se modifie au gré des vents.
Toxicité et métabolisme de l’iode:
Toxicité:Aux doses indiquées les effets collatéraux sont extrêmement rares selon le NEJM
Certaines personnes peuvent être allergiques à des produits contenant de l’iode, comme par exemple les produits de contraste injectés pour des examens de radiologie.
Les produits susceptibles d’induire une « allergie à l’iode » contiennent tous de l’iode, mais ce sont les molécules porteuses qui interviennent dans les cas d’allergie. Pour la Bétadine c’est la Povidone (le véhicule de l’iode) qui est responsable. Pour les produits de contraste iodés, l’osmolarité également est mise en cause. Pour les produits de la mer (poissons et crustacés) ce sont des protéines musculaires. Il n’y a pas d’allergie rapportée dans les cas d’utilisation de solution alcoolique ou aqueuse d’iode (solution de Lugol, teinture d’iode, etc.)
L’iode qui va saturer la thyroïde peut entrainer très rarement une hypothyroïdie biologique transitoire. Ceci a été décrit avec l’amiodarone, médicament très riche en iode.
Extrait du NEJM: ref en bas de l’article.
“the most likely treatment of internal contamination would be the use of potassium iodide or iodate to prevent radioiodine from accumulating in the thyroid. The recommended daily dose of potassium iodide is 130 mg for adults, 65 mg for children 3 to 18 years old, 32 mg for children 1 month to up to 3 years old, and 16 mg for infants less than 1 month old. Potassium iodide must be taken shortly before exposure or within several hours after exposure to be effective. Both the Nuclear Regulatory Commission and the FDA have approved the use of potassium iodide in emergencies. Potassium iodide is widely available through the mail and the Internet. Too high a dose will result in iodism, but the risk of serious side effects with the recommended dose is extremely small.”
Métabolisme :
La thyroïde a une grande affinité pour l’iode. Le fait de la saturer avec de l’iode (froid) empêche l’iode radioactif de s’y fixer.
L’iode fixé sur la thyroïde a une demi-vie biologique de 100 jours. On ne comprend donc pas pourquoi il existe partout une information curieuse disant que la prévention n’est efficace que trois jours. La demi vie dans les os est de 14 jours et dans les reins les organes génitaux seulement 7 jours. Mais l’iode n’a pas une grande affinité pour les testicules ou les ovaires. Ce sont les radiations en général qui sont risquées.
Posologie:
Les services sanitaires s’occupent de tout cela mais ils peuvent être débordés car dit on, il faut prendre cet iode juste avant l’arrivée du nuage radioactif.
Alors pas d’iode = panique et rien ne va.
Pour que tout se passe mieux, il faut se procurer un peu d’iode ou d’iodure de potassium et le donner à la dose suivante :
Comprimé à 65 mg
Nourrisson moins de 1 mois 16 mg un quart
Nourrisson de 1 mois à 3 ans 32 mg un demi
Enfant de 3 à 18 ans 65 mg un
Adulte 130 mg deux
Où trouver de l’iode ヨウ素 ?
Les services de santé de l’Armée seuls disposent de
comprimés sécables de 65 ou 130 mg.
Les pharmacies disposent d’iode métalloïde et d’iodure de potassium.
Le plus simple est de se procurer en pharmacie du :
Lugol: ルゴール la dose est une goutte par kilo de poids par jour, divisée en trois prises par jour, durant 3 jours.
Pour un enfant de 12 kg, cela fait 4 gouttes matin midi et soir durant 3 jours.
A défaut,
Teinture d’iode. Même dose
Ou de la Bétadine ou un produit contenant de la Povidone iodée. Même dose. On peut aussi badigeonner les bras et les jambes. L’iode est absorbé à travers la peau. L’iode colore la peau durant plusieurs jours: Évitez de badigeonner les parties visibles.
Au Japon, un médicament nommé Isodine est analogue à la Bétadine.
La Bétadine est chez nous contre-indiquée chez les enfants de moins de 3 ans car l’iode traverse la peau: c’est justement ce que l’on cherche.
Pour éviter la pénurie, il est bon de partager avec ses voisins. Avec un flacon de 100 ml, on peut traiter 9 adultes, 18 enfants, 36 nourrissons, 75 nouveaux-nés.
Quand faut-il prendre l’iode ?
NB: L’iode est contre-indiqué chez les personnes allergiques à l’iode.
Au Japon :
Théoriquement:
Juste avant l’arrivée du nuage quand la radio ou la TV indique une augmentation de la radioactivité et sans doute si le vent vient de la centrale. C’est déjà le cas à Tokyo et au Nord de Tokyo.
Quand on a pris une cure, on n’en reprend pas si le nuage revient. On reste chez soi en fermant les fenêtres et en arrêtant la climatisation.
Comme tout ceci se fait très vite et qu’une seule cure suffit, on peut avoir un peu d’iode chez soi.
Au Japon, les vents dominants soufflent du Nord-Ouest emportant la majeure partie de la radioactivité vers le Pacifique mais il peut y avoir des systèmes tourbillonnaires. L’ISRN a modélisé le nuage radioactif et les prévisions 48 H à l’avance. S’il n’y a pas de nouvelle explosion, le plus dur est passé, avec une assez forte augmentation de la radioactivité à Tokyo dès le 15 mars au gré des vents.
Document ISRN
A Tchernobyl, les vents variés ont disséminé la radioactivité sans direction particulière comme en témoigne cette carte de l’ISRN du 2 mai 1986 soit 6 jours après l’explosion:
Il existe d’autres radio-éléments comme le Cesium, le Plutonium, etc… contre lesquels on ne peut pas faire grand chose.
Au Japon, en pratique, toutes les personnes de moins de 40 ans peuvent prendre une cure d’iode car les vents tournent.
Le nuage radioactif arrive en Europe par l’Ouest ou par le Nord selon les vents, vers le 21 ou 23 mars. En raison de la dilution, la radioactivité diminuera régulièrement.
On peut espérer que la gestion de cette catastrophe sera meilleure que celle de Tchernobyl mais il vaut mieux être vigilant. Selon les dernières modélisations de l’IRNS, la radioactivité couvre toute la planète. C’est bien inquiétant.
En Europe, il faut prendre exemple sur les japonais et rester calmes et dignes. On est au chaud et on mange.
“Au Japon, à la catastrophe nucléaire en cours, s’ajoutent les destructions du tremblement de terre, le désastre du Tsunami, ainsi que l’isolement du Nord sans routes, sans essence, sans abris sans médicaments, et aussi maintenant sans nourriture. De plus il neige avec des températures de -4 ° “
Temple près de Fukushima: les petits bouddhas protègent les enfants (Photo Dr Gamin)
がんばて
Reférences: En francais ou anglais
Major Radiation Exposure — What to Expect and How to Respon Fred A. Mettler, Jr., M.D., M.P.H., and George L. Voelz, M.D. Article de revue très complet du NEJM
CRIIRAD: Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité: Dossier extrêmement complet, sans langue de bois, sur la radioactivité au Japon toutes les mesures disponible, les courbes. Nombreux liens vers des sites japonais.
Latest Earthquakes in the World: information sur les tremblements de terre depuis 7 jours dans le monde.
bjr le doc gamin, merci pr ces apports, juste une remarque la dose x gouttes par kg, elle se divise en trois pour la prise sur une journée ou elle se multiplie par trois au contraire ? c est pas pareil et plus precis. et il y a des betadines dosées différemment 5 ou 10 pour cent ? ? quelles consequences ? merci
RépondreSupprimerla dose x gouttes par kg, elle se divise en trois pour la prise sur une journée ou elle se multiplie par trois au contraire ?
RépondreSupprimerElle se divise par trois Pour un enfant de 30 kg c'est 10 gouttes (X) trois fois par jour trois jours
Toutes les bétadine en badigeon ou en gouttes sont efficaces.
ça veut dire qu'il faut prendre de l'iode même en France ?
RépondreSupprimerLe Criirad dit que la radioactivité est là , faible l'Etat dit que non. Je ne suis pas devin. je donne des informations médicales
RépondreSupprimerMerci beaucoup, si vous en savez plus sur le nuage et la prise d'iode, je vous remercie d'avance de nous en informer sur votre site si possible !
RépondreSupprimer